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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 09:32

  

 ...avec des compagnons nouveaux qu’il va vous falloir tester. Faites-vous des amis avec des gens honnêtes, intelligents et prudents, et ayez le sens de la bienséance. Ne restez pas en compagnie de méchants qui ne se soucient pas des conséquences de leurs actions, de ceux qui mentent, trichent et volent. Prenez de la distance, mais faites-le habilement.

 Ne vous fiez pas à des gens qui vous disent des choses douces et font l'inverse derrière votre dos. 

Pour vous-même, restez constant au milieu du flux et reflux de bonheur et de souffrance. Soyez amical mais avec les autres, un bavardage intempestif et insouciant vous mettra en leur pouvoir, un silence excessif peut les laisser confus quant à ce que vous voulez dire. Gardez le juste milieu: ne vous laissez pas emporter par la confiance en soi , mais ne soyez pas un paillasson non plus. Extraits du conseil du cœur

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4 novembre 2018 7 04 /11 /novembre /2018 20:44

Le meilleur moyen pour se protéger des perturbations étant de garder l’esprit ouvert du lever au coucher, ainsi on peut vivre plus en harmonie avec les autres. La pratique est d’être entraîné, sans complaisance, ce sont les autres qui nous permettent cet effet miroir, de voir tous nos fonctionnements.

Comprendre que la difficulté vient de nous mêmes, nous devons développer cette lucidité pour évoluer dans ce monde de manière éveillée. Développer l’oubli de soi pour nous faire goûter à son unité, suivre la voie cosmique plutôt que nos illusions et tous nos rêves ou de s’égarer dans les distractions. JP Faure abbé zen Emission sagesses

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30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 15:52

 de questionnement pour rester toujours aligné. cela nous relie à nous même, à notre environnement, alors que nous sommes dans un

monde en perte de repère.

Sans forcément tout un travail philosophique et psychologique, simplement questionner nos représentations, nos présupposés individuels car on peut être confronté à un conflit de valeurs ou l’on va devoir avoir la réponse au plus juste. Il ne s’agit pas non plus de moral, de bien ou de mal mais d’un questionnement actif dans un lâcher prise de mes habitudes, pour répondre au plus juste, de l’ordre de la sagesse. Garder ce principe de réciprocité avec le vivant, d’effet miroir qui me ramène à ma propre pratique vers le bonheur, le monde change si je change moi même, cette interaction c’est ce qui va me construire. Emmanuel Ollivier 

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26 octobre 2018 5 26 /10 /octobre /2018 10:11

par exemple, est souvent associé à leurs propres besoins émotionnels et n'est donc pas totalement compatissant.

De même, dans le mariage, l’amour entre mari et femme, surtout au début, quand l’un n’est pas pleinement conscient du caractère de l’autre, ressemble plus à un attachement qu’un véritable amour. Notre désir peut être si fort que la personne à laquelle nous sommes attachés semble bonne, même si cette personne est en réalité très négative. De plus, nous avons tendance à exagérer les moindres qualités. 

Ainsi, lorsque l’attitude d’une personne change, celle-ci est souvent déçue et sa propre attitude change en conséquence. C’est le signe que l’amour était davantage motivé par un besoin personnel que par un souci authentique de l’être aimé.

 La vraie compassion n'est pas simplement une réponse émotionnelle; c'est un engagement ferme et réfléchi, par conséquent, une attitude authentique de compassion ne change pas.ss

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22 octobre 2018 1 22 /10 /octobre /2018 19:00

... pour nous est de comprendre et de pratiquer afin d’éliminer les perturbations à l’intérieur de notre esprit, toutes nos projections. Le seul chemin est la sagesse qui réalise la vacuité, pour cela trouver les conditions favorables pour la développer, se mettre déjà des empreintes.

Tant qu’on n’a pas solutionné nos problèmes cela continue, le chemin est d’actualiser la réalité ultime, cette réalité comme un rêve que l’on prend pour tellement solide, éliminer les obscurcissements. Comme tout est impermanent, nos conditions favorables peuvent cesser, que dire de courir après des plaisirs ordinaires éphémères qui seront perdus et n’apporteront pas leurs promesses « comme une goutte de rosée sur la pointe d’un brin d’herbe qui s’évapore en un instant ».

Beaucoup de désirs amènent beaucoup de souffrance à l’inverse de la satisfaction et du contentement synonymes du renoncement. C’est triste, tout le monde sait qu’il y a la mort mais se dit qu’il faut profiter de la vie, comme les animaux en sorte, ce qui, en fait, avec analyse crée encore plus de souffrances.

Bien sur des efforts sont nécessaires pour une félicité immuable, en nous rendant compte que notre vie est le résultat des causes occasionnées par notre corps-esprit, ce même esprit qui a le potentiel de clarté, nous devons étudier la vacuité, voir les choses telles qu’elles sont, de simples désignations de l’esprit, pour en ôter toutes les pollutions qui l’obstruent.

Un atome parmi tous les autres n’est pas si important que ça, avec moi, Moi, Moi on attrape toutes les maladies, donc relaxons nous avec un esprit toujours heureux dans la transformation des problèmes, pour rendre les autres heureux, à l’intérieur de notre esprit il y a un héros courageux qui ne se soucie pas des mauvaises conditions.

Acceptons aussi nos imperfections, progressons pas à pas en essayant de les transformer, de travailler sur nos erreurs, le préalable étant de les reconnaître pour les dissoudre couche après couche. Le corps et l’esprit sont des conditions temporaires, s’identifier avec notre nature pure et la nature de tous les phénomènes, se familiariser avec, purifier toutes les impuretés, amener la lumière de la sagesse dans l’esprit, unir compassion et sagesse. streaming lama Zopa Rimpoché Madrid

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15 octobre 2018 1 15 /10 /octobre /2018 16:15

Regard profond sur les 5 agrégats en 5 territoires de notre royaume, le souverain

est la pratique de la pleine conscience, s’arrêter et revenir vers son royaume, sources de notre bonheur et souffrance nous permettant de vivre en harmonie avec les autres. Ils font partie de notre être avec le corps ou la forme dont nous devons reconnaître son impermanence, ensuite les formations mentales est ce qu’on s’identifie à elles. Comment pouvoir transformer les choses difficiles dans notre corps-esprit ? Avec l’arrêt et le regard profond.

Notre société fait abstraction du corps sauf de façon superficielle, comment l’incarner vraiment ?

Quand aux sensations, perceptions, 99 % d'entre elles sont fausses, la pratique est de regarder d’où elles viennent, se poser des questions sur nos pensées négatives, sur nous mêmes. Enfin avec notre conscience en partie visible mentale, l'autre du tréfonds, pouvoir accueillir les formations mentales et s’en occuper quand elles surgissent, on peut être souverain sans qu’il y ait un soi, juste ce qui vient ce qui part. soeur Mai Nghiem, frère Phap lieu Emission sagesses.

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12 octobre 2018 5 12 /10 /octobre /2018 08:42

issue de la dualité Platonicienne et du christianisme du bien contre le mal, l’intelligible contre la matière d’un au-delà contre un ici bas. Une vision nihiliste, une dévalorisation des autres, une haine de la vie en fin de compte, dénoncée par Sartre et Camus, de façon plus solaire pour ce dernier, une tragédie de la vie pour Schopenhauer.

Cioran « Le monde est un enfer dont chaque instant ressemble à un miracle », comment « apprendre à danser le chaos en place du psychodrame tragique ». Alors comment donner du sens ?

Nietzsche en exaltation de la vie et Schopenhauer avec un monde comme volonté dont la représentation n’est qu’une illusion, nous ne pouvons avoir accès qu’au seul présent, dans l’instant est l’éternité.

Une approche naturaliste d’adaptabilité dans l’essence de l’être « croître ou dépérir « , une immanence de l’être toujours en devenir, en mouvement et accroissement.

Que nous disent les poètes ? Que faire de notre mal être ou comment s’émerveiller aujourd’hui ? Par « la capacité enfantine de s’arracher à la terreur du monde » Christian Bobin par « le feu d’artifice d’un sourire ». Une innocence que le quotidien peut tuer selon Alexandre Jolien car parler vraiment c’est s’appuyer sur sa vérité « comme une pensée scintillante qui luit de notre cœur » CBobin par « la vibration d’une goutte de rosée tombant sur un nénuphar que les yeux entendent ».

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8 octobre 2018 1 08 /10 /octobre /2018 08:51

Sur les 84 000 cet enseignement fait partie des 3 qui peuvent garantir l’Eveil, sur 20 vers avec un refrain, ainsi le méditant est amené à observer et l’externe et l’interne, il est invité à demeurer dans cette concentration.

La 1ère attention est sur le corps « ceci est un corps » qui est déjà une distanciation, l’observer permet de pas s’y identifier montrant par l'apparition et disparition la façon dont les choses changent.

C’est non seulement le bien être recherché, galvanisé de nos jours, mais aussi de pouvoir chercher la cause du mal être.

La 2ème attention est sur les sensations qui est plus d'un ressenti « ceci ressent »pour éviter là aussi l’identification , car ces sensations sont vouées aussi au changement. Se concentrer sur le ressenti émotionnel, sur ce qui est noté agréable, désagréable et neutre.

Plus que l’esprit il s’agit des états d’esprit, les étudier avec la même distanciation « ceci est une pensée »en essayant de savoir ce qui l’anime.

Avec les phénomènes mentaux nous devons maintenir cette attention soutenue de pleine présence en se gardant des 5 obstacles que sont le désir et l’aversion avec l’agitation, la paresse et le doute.

Il s’agit d’affiner les événements, de développer une compréhension claire en contemplant avec une attention vivante. Emission sagesses Jeanne Schut

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5 octobre 2018 5 05 /10 /octobre /2018 09:56

que nous avons un corps qui est vraiment une partie de nous. Nous passons 2 heures sur notre ordi, nous sommes tendus mais nous ne savons pas nous arrêter, nous avons complètement oublié notre corps durant tout ce temps. nous sommes dans le futur pendant que notre corps souffre, donc notre 1er acte d’amour est de respirer et de retourner dans notre corps.

« J’inspire je sais que j’ai un corps, hello mon corps je suis de retour ! Je vais prendre soin de toi, te considérer » : c’est le début de l’amour. Quand l’esprit est de retour dans le corps, tous 2 sont dans l’ici et le maintenant.

Nous devons noter 2 choses avec la respiration consciente, la 1ère est que le corps est un miracle, redécouvrir cela. C’est ce que les biologistes tentent de faire, c’est une partie du cosmos, le corps est le siège de la conscience, la conscience du cosmos, nous ne connaissons pas sa valeur, il contient toutes les informations du cosmos, son histoire, son origine pas seulement humaine mais animale, végétale. Avec notre respiration nous nous éveillons, nous devons avoir de la gratitude pour notre corps, notre néocortex est sophistiqué dans son organisation, le cosmos touche notre corps, que nous pouvons toucher grâce à lui, les futures générations sont déjà à l’intérieur de lui, avons nous la capacité d’apprécier cela, la terre mère est en nous. Non en dessous, ni autour, mais en nous, nous sommes faits du soleil, de l’air, de l’eau. En être conscient c’est beaucoup de bonheur, car nous pourrons apprécier notre corps, toucher l’histoire de notre vie, de nos origines, ceci peut nous nourrir.

La 2ème chose est qu’il peut y avoir de la tension, de la peine dans notre corps, que nous avons laissé s’accumuler depuis longtemps. Nous ne l’avons pas aimé, laissé souffrir, la respiration nous permet de nous reconnecter pour nous en occuper, de prendre connaissance de cette tension : c’est un acte d’amour envers notre corps.

En respirant je me relie à mon corps, à ses tensions, c’est très concret et répond à la question comment je m’aime, donc de se reconnecter et de l’écouter. Nous pouvons ainsi ressentir à nouveau de la joie à nous nourrir nous même, nous aimer, ceci n’est pas difficile pour une personne qui est consciente, tellement de choses disponibles dans le moment présent qui peuvent rafraîchir, guérir. Aucun problème pour générer la joie, voilà exactement comment s’aimer en nous nourrissant de joie et de bonheur en pratiquant cette respiration consciente. Nous pouvons être conscient quand une émotion de peine s’élève, nous pouvons l’accueillir pour moins de souffrance même quelques minutes, quand on reconnaît cette souffrance on peut la calmer, en prendre soin, regarder en profondeur les racines de la souffrance, les perceptions qui en sont la cause, nous pouvons comprendre.

Comprendre qu’elle porte les souffrances de notre père ou de notre mère, de nos ancêtres, les comprenant nous pouvons aider les autres, nos propres enfants, partenaire, nous souffrirons même moins. Nous serons motivés par l’énergie de la compassion et pourrons agir, si l’autre souffre moins, nous souffrirons moins, nous aurons plus de joie c’est la façon de nous aimer. Nous ne serons pas capable d’aimer si nous ne nous aimons pas nous mêmes, c’est l’enseignement du bouddha, prendre soin de notre corps de nos émotions.Pour les amis qui souhaitaient la traduction de la video...

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30 septembre 2018 7 30 /09 /septembre /2018 10:06

Une transmission de la sagesse au monde en soif de sens, aux valeurs perturbées, d’un homme qui a expérimenté les résultats de sa propre quête cherchant à éradiquer cette souffrance.

Si l’on parle de tradition c’est dans le sens de transmettre ou de préserver une essence vivante, de l’ordre de la générosité, hors de tout fondamentalisme que peuvent générer les institutions.

Les lignées de transmission sont des garanties d’authenticité contre la tentation de faire des concessions des fondamentaux au monde contemporain.

Ce n’est pas un simple bien être temporaire, tel un médicament qui soulagerait la douleur quelques heures, un « bonheur » en tarte à la crème, fugace, alors que l’on peut s’atteler à du définitif, au non retour de la souffrance par un éveil complet.

Rétablir les malentendus, le karma est une loi dans l’esprit ou s’inscrit les empreintes de ce que nous produisons dans nos actes, qui fait son chemin pour rejaillir quand les conditions sont réunies, en souffrance généralement.

La réincarnation, phénomène plus complexe qu’une simple âme qui transmigrerait, car nos facteurs mentaux et physiques ne sont pas permanents, on parle d’un courant changeant.

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